Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

LES POEMES DE MARIE CHRISTINE

9 juillet 2010

A MA PETITE COUSINE...



A ma petite cousine préférée,

Il y a quelques années que nous nous sommes retrouvées,
Et je regrette un peu celles où nous nous sommes égarées.
Mais peu importe car aujourd'hui je te dis
Que tu es ma petite cousine pour la vie.

Plus qu'une cousine, je dirais de toi,
Que tu es comme une petite sœur,
Car ta place est grande dans mon cœur,
Je serais toujours là si tu as besoin de moi.

Quelques mots valent mieux qu'un grand discours.
Pour dire que le lien le plus important dans une famille,
N'est pas le lien du sang mais le lien de l'amour,

Il est pour toi ce poème, Nathalie,
Car pour Patrick, Moi et Marie,
Tu es notre petite cousine chérie. 

Publicité
Publicité
1 juillet 2010

UN MOMENT DE TENDRESSE



9b65e844

Des caresses de toi sur moi,
Des caresses de moi sur toi,
Un moment de tendresse rien qu'à nous,
Ou nous nous aimons en oubliant tout.

Tes baisers déposés dans mon cou,
Mes mains caressant tes cheveux,
Ces moments d'amour doux n'appartiennent qu'à nous,
Nous sommes heureux tous les deux.

Un moment de tendresse, un moment d'amour,
Je veux te les offrir tous les jours, tour à tour,
Je veux les recevoir de toi jusqu'à la fin de mes jours.

Aime moi autant que je t'aime
Pour la vie entière et au delà même.

24 juin 2010

PROMENADE


Dock


Vous aimiez à vous promener parmi les gens.
Leur dire quelques mots gentils en passant.
Vous vous plaisiez à raconter vos petites histoires.

Attendant d'eux qu'ils vous disent "quelle mémoire".


Sur votre dos, le poids de toutes vos années,
Aurait du vous recourber.
Mais  vous vous sentiez pousser des ailes.
A 80 ans, la vie est toujours aussi belle.

Vous  vous êtes accrochés à la plus haute branche.
Pour retarder le moment de votre départ.
Hélas, la mort de la haut sur vous se penche,
Vous emportant dans un ciel de brouillard.


Aujourd'hui, le ciel est d'un bleu pur.
Pas un nuage, ni bruit, ni murmures.
Dans la sérénité, vous vous reposez,
Toutes ces pensées vous les avez mérités.

21 juin 2010

LE SOLEIL EST REVENU

674300059_small



LE SOLEIL EST REVENU DANS MON CŒUR ET DANS  MA VIE.
LE SOLEIL EST RÉAPPARU,  JE ME SENS PLUS JOLIE.
DES LARMES DE  BONHEUR COULENT LE LONG DE MES JOUES,
LAISSE MOI INONDER DE TENDRES BAISERS TON COU.

LE SOLEIL EST REVENU ET POUR TOUJOURS JE LE SAIS.
JE VAIS DE TENDRESSE ET D'AMOUR TE COMBLER.
LES VAGUES DE LA TOURMENTE ONT CESSE DE M'ENVAHIR,
SEULE RESTERA A PRÉSENT LA LOI DE NOS DÉSIRS;


OH MON UNIQUE AMOUR, JE T'AIME TANT.
AUJOURD'HUI ET JUSQU'À LA FIN DES TEMPS;



18 juin 2010

LA RENAISSANCE

yeux_lask_001_pologne_1179912047_1383056



Pourquoi tant de jalousie et de rancœur ?
Chacun a droit à sa part de bonheur
Sans pour cela détruire d'autres cœurs.


Regardez autour de vous
Quelqu'un vous aime surement.
N'enviez pas ce qui s'aime d'un amour fou
Mais  essayez d'en faire autant.


Si l'envie est l'un des pêchers capitaux
Sachez que j'ai souffert de nombreux maux.
Rien ne compte plus pour moi que ma famille
Et pour les protéger de vous j'ai du me montrer habile.

Vers le ciel je me suis tournée,

Pour enfin me libérer de toutes ces mauvaises pensées.

Avec l'aide de tous mes regrettés, aujourd'hui je vais continuer à aimer
Mais cette fois plus fort que jamais.


Du mal, je suis incapable de vous en donner.
Alors le mieux c'est de vous oublier.


Publicité
Publicité
16 juin 2010

A L'ENFANT PERDU

PRÉLUDE AU POÈME.

JE DÉDIE CE POÈME A TOUTES LES FEMMES QUI SOUFFRENT DE NE PAS AVOIR PU AVOIR D'ENFANTS
DANS LE MONDE ENTIER IL Y A BEAUCOUP D'ENFANTS QUI AIMERAIENT VOUS APPELER MAMAN


er930


                                                       
                        

                              Fin Avril, début Mai, tu aurais dû arriver;
J'ai toujours supposé qu'une fille tu étais.
A la vie tu n'as pas voulu t'accrocher
De mon corps tu t'es détachée.
Mon enfant, mon amour, pourquoi m'as tu quitté ?
Quinze ans aujourd'hui tu aurais eu.
En plein cœur  de ta jeunesse avec toi
Je me serais confondue.

Comme le poids de ton absence est difficile à porter.
Désespérément dans d'autres enfants
Je t'ai en vain cherché sans hélas jamais te retrouver.

Ces baisers que sur toi je n'ai pas pu poser,
En pensées, des millions de fois je te les ai données.

Mon enfant, mon amour,
Le vent des inquiétudes et des doutes souffle trop fort.
A tes branches, j'aurais voulu m'accrocher.

Sache mon bébé que jamais je ne t'oublierai.

16 juin 2010

AU SOLDAT DISPARU..

NORM02_131_soldats




A toi, jeune soldat, je dédie ce poème
Mais aussi à ta famille qui t'aime.
Que ce soit au Liban ou en Afghanistan
Pour défendre l'honneur de ta patrie tu marchais devant.

A toi, jeune soldat, je dédie ce poème
Mais aussi à cette jeune fille qui t'aime.
Que malgré son chagrin elle reste fière de toi
Qu'elle respecte ce qui était ton choix.

A toi, jeune soldat, je dédie ce poème
Mais aussi à ton âme qui de la haut sème
Des pétales de roses partout sur la terre
Pour qu'enfin le paix règne et qu'il n'y ait plus de guerre.




15 juin 2010

A MA MEILLEURE AMIE

A mon amie,

Il y a quelques années tu as décidé de nous quitter.
De nos plus belles années
Il ne restera que des souvenirs
Dans le futur plus rien à inscrire.
J'entendrais toujours l'écho de nos fous rires.
La vie de ton corps volontairement tu as ôtée.
Lorsque pour la dernière fois je t'ai regardé
Je savais que quelque chose de grave se passait.
Une lueur obscure dans tes yeux était née;
Ton sourire n'était plus aussi parfait.
Si souvent à moi tu t'es confiée,
Pourquoi une fois de plus ne l'as tu pas fait ?
Où tu es, reposes en paix
Du monde où je vis je t'envoie des millions de baisers.
Souviens toi qu'à l'amitié éternelle nous sommes liés.

15 juin 2010

LE MAL D'AMOUR

image_coeur_brises_12400213_resize


Pardonnez moi mon amour si aujourd'hui j'ai du vague à l'âme,
Je cherche à raviver pour longtemps cette petite flamme
Qui avait fait de vous et moi des amoureux tellement parfaits,
Des amoureux à l'abri de tous les dangers.

Je me suis  accrochée à vous et je n'étais jamais tombée.
Ne me dites pas que le moment de la désillusion est arrivée.
Rallumons en nous encore cette petite braise
Pour qu'à tout jamais il n'y ait que moi qui vous plaise.

Dans vos rêves interdits, n'imaginez que mon visage
Calmez par vos caresses   mon torrent de rage,
Faites qu'aujourd'hui la tempête passe,
Et que dans vos bras pour toujours je rêvasse.

MARIE CHRISTINE


15 juin 2010

A MA FILLE...

A ma fille chérie,


Il était une fois deux femmes qui ne se connaissaient pas.
Tu ne te souviens pas de la première,
La deuxième est celle que tu appelles " ma mère ".
Pour te façonner deux existences se sont unies,
Deux destins différents unis ensemble pour unifier le tien.
L'une est l'étoile qui  t'a porté,
L'autre le soleil qui t'a réchauffé.
La première t'a mis au monde, la seconde t'a appris à marcher.
La première t'a donné la vie, l'autre te l'a expliqué.
L'une t'a donné une nationalité, l'autre t'a donné un nom.
L'une a renoncé à toi, l'autre, Dieu la conduit vers toi.
Bientôt te viendront les questions que l'on se pose depuis la nuit des temps.
Mère ou maman, quelle importance, ce sont deux amours qui t'ont formé.
L'une pour un jour, l'autre pour toujours.

Ta petite maman

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Publicité
LES POEMES DE MARIE CHRISTINE
LES POEMES DE MARIE CHRISTINE
Derniers commentaires
Publicité